La nuit tombait doucement sur la ville, enveloppant les immeubles d’un rideau funeste ponctué par la lueur vacillante des réverbères. Dans une petite ainargentage encombrée de livres immémoriaux et de cartes marquées de symboles impénétrables, Mathilde tenait entre ses doigts un vieux téléphone à cadran. Le combiné, d’un taciturne profond, https://catherinecgjno.csublogs.com/40575232/l-écho-des-silences-de-la-gratuite-par-téléphone-avec-jade-médium