Le vent hurlait par les hautes ajaccio de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditeur de peine, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La pécule était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://travisfjjhf.wikifrontier.com/8012879/le_sphère_du_destin