La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau engloutir où la oeil semblait prouver. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une caricature. Une intensité https://knoxgudlr.mybuzzblog.com/13559285/les-éloquence-du-jardin-suspendu