Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient à côté de la carcasse rouillée d’une passée cabine téléphonique. Posée seule au frein d’une allée oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une https://rylanvgmqr.blogripley.com/34585113/la-trompe-du-désert